<p>Peut-on toucher à l’immobilier et le taxer davantage d’une manière ou d’une autre ? </p><p>Tel était la question posée dans l’Echo du samedi 6 juin au Vice-Premier Ministre Didier Reynders.</p> <p>Sa réponse est sans appel : <br><i>«L’immobilier, c’est l’investissement le plus civique, il est fait au vu et au su de tous. Et je le dis très calmement : il faut faire bien attention à ne pas décourager cet investissement civique, il est louable, il aide à loger les gens. Encore une fois, la priorité c’est de baisser les charges et les impôts pour les personnes et pour les entreprises. Ensuite, on verra quel est l’effet retour de ces baisses de charges et puis on cherchera comment financer le solde au travers des réductions de dépenses et peut être aussi avec des prélèvements liés à la lutte contre la fraude ou contre les comportements dommageables en matière d’environnement. Mais c’est un deuxième débat. La priorité, c’est de baisser les charges»</i>.</p>